Nous sommes tous des microbes…

Qui avons réussi.

J’adore cette expression entendue lors d’une conversation entre les médecins de cœur Olivier Soulier et Philippe Dransart, sur le sens de la maladie et sa symbolique.

Notre société de consommation considère la maladie comme un mal – une fatalité – à combattre à coups de chimie et à coups de bistouris. Et on ne va pas s’empêcher de prendre un anti-douleur lorsqu’une rage de dent survient alors que les alertes aigres-douces ont tenté de nous ébranler pour nous rendre illico presto chez le dentiste pendant des mois, en vain.

Nous sommes plus enclins à soigner les symptômes, que de guérir ce qui a provoqué la maladie.

Et c’est là que nous partons à la dérive, et que l’homme n’est pas sorti de la berge. Encore moins de l’auberge médisacralisée.

Hors nous possédons un fabuleux système de veille biologique. Un avertisseur permanent sur notre état interne. Sans que nous soyons conscients de son existence, cette conscience interne du corps veille et nous envoie des signaux gênants autant que géniaux. Et si nous ne réagissons pas à un signal aigu, le signal devient chronique et la maladie devient, elle aussi, chronique.

O. Soulier et Ph. Dransart nous invitent à voir bien autrement ces maladies. D’une façon qui nous permette d’être et de reprendre la responsabilité de notre être. D’être toujours plus conscient d’habiter un corps physique, cet ami, reflet de notre être, qui nous portera depuis la gestation jusqu’à notre dernier souffle.

On ne peut dissocier notre corps de notre état d’être. Lorsque les événements externes viennent rompre notre équilibre émotionnel, automatiquement le corps s’imprime de l’état émotionnel déstabilisé et réagit. Il vit lui aussi les événements déstabilisants et met en route un système de guérison que nous ne comprenons pas encore.

Se fouler la cheville le jour où nous devons nous présenter pour décrocher un job prometteur mais qui nous met dans la contradiction par rapport à nos valeurs, n’est pas anodin. Tomber malade le soir de Noël et ne pouvoir se rendre au dîner de famille, n’est sans doute pas non plus le fruit du hasard…

Le corps semble ne pas accepter de fonctionner dans l’ambivalence, dans le conflit intérieur. Il serait donc un fabuleux moteur pour nous sortir d’impasses, de contradictions entre ce que nous souhaitons, et ce que nous croyons, nos certitudes et notre être, notre vérité. Il ne fonctionne pas dans l’inacceptable et nous le fait savoir. Voilà un ami fidèle qui ne nourrit aucune relation ambigüe envers nous. 

Alors lorsque notre corps semble nous lâcher, prenons une pause, et posons-nous la question « que dois-je remettre à jour dans mes croyances et dans mes actes ? » Si mon corps vient m’embêter, que veut-il m’exprimer ? « Qu’est-ce que je ne respecte pas chez moi ? « Comment suis-je entrain d’empêcher le flux de la vie de couler pleinement en moi ? »

A bientôt 😊

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